Entre l'expulsion des prédicateurs et imams radicaux étrangers qui ne respecteraient pas les règles de la République, l'évacuation des camps de Roms, le rétablissement d'une certaine sérénité dans la cité phocéenne ou d'autres quartiers, d'autres villes, Manuel Valls rappelle de manière confondante dans sa détermination et fermeté, Nicolas SARKOZY, quand celui-ci se préparait à la fonction politique suprême de Président de la République.
Homme de Gauche, mais d'une Gauche décomplexée, Manuel VALLS séduit à Gauche comme à Droite. II a raison de tenir bon et le président de la République, François HOLLANDE, a raison de le soutenir puisque la pensée unique peut provoquer des dégâts considérables quand on s'y éloigne un peu...
Les premières victimes de la délinquance, de l'insécurité, des discours fallacieux, ce sont les gens de la classe populaire.
Agir avec force détermination c'est agir en respectant les plus fragiles de notre société française.
Les plus fragiles doivent être soutenus
Manuel VALLS souhaite soutenir les plus fragiles
Je suis engagé à soutenir les plus fragiles
Donc je soutiens Manuel VALLS
Manuel VALLS :
(20 minutes.fr) "Je ne confonds pas cet islamisme radical avec l'islam de France mais il y a un environnement religieux, il y a des groupes qui se réclament du salafisme, qui sont dans un processus politique, qui visent tout simplement à s'accaparer à la fois le monde associatif, les processus scolaires, au fond à mettre la main sur les consciences d'un certain nombre de familles", a-t-il expliqué.
"Nous expulserons tous ces imams, tous ces prédicateurs étrangers qui s'en prennent à la femme, tiennent des propos contraires à nos valeurs, font référence à la nécessité de combattre la France", a-t-il averti.
"De ce point de vue là, il faut être extrêmement ferme et je le serai", a-t-il conclu.
(Midi Libre) "La politique du gouvernement est "d’évacuer des campements lorsqu’il y a une décision de justice ou lorsque ces campements proposent des conditions sanitaires
déplorables".
"Je ne peux pas supporter, en tant que ministre de l’Intérieur, en tant que citoyen, en tant qu’homme de gauche, qu’il y ait des bidonvilles dans lesquelles des hommes vivent dans des conditions insupportables".