Ce qui devait arriver, arriva....
La compagnie air-france prononce sans attendre les décisions de justice 4 licenciements pour faute lourde envers des salariés qui seraient impliqués dans l'affaire de l'agression du DRH à la chemise déchirée.
11 autres salariés selon la presse sont mis à pied et enfin pour un dernier salarié, une procédure de licenciement est engagée conformément à son statut de délégué du personnel.
Ce qui est tristounet dans cette affaire est de constater que la défense de ses intérêts professionnels peut conduire à des sanctions ultimes si les choses ne sont pas réalisées avec maîtrise.
C'est vraiment degueulasse !
Alors que dans d'autres cas, on a pu constater que la société, les entreprises, savaient procéder autrement.....
Souvenons-nous de l'affaire du "roi" dont le mis en cause est passé entre les gouttes suite à un classement sans suite du dossier en raison sans doute de la prescription ou manque de fondements de certains éléments.
Quand on prend le temps de lire l'extrait de l'article de presse ci-dessous, on pourrait comprendre le sentiment de dégoût exprimé par certaines personnes...
EXTRAIT :
"Une véritable tournante"
D'après le corbeau, de véritables parties fines étaient organisées dans les bureaux du syndicat, rue de Sébastopol. C'est notamment ce qu'aurait vécu "Nath", dont le témoignage a été publié ce samedi sur le site du Point. La jeune femme démissionne de la RATP en 2003 lorsque son mari est muté dans le sud. Lors de son pot de départ, elle discute avec quelques collègues d'un éventuel retour au sein de l'entreprise. Gwenaël Eslan, le responsable syndical mis en cause, l'entraîne dans le bureau d'un agent de maîtrise de la ligne 5 dans lequel un responsable les rejoint. Patricia, déléguée du personnel, présente ce soir-là, a entrebaillé la porte. "On a assisté à des scènes classées X, une véritable tournante" affirme-t-elle auprès du site d'informations. Une partie fine de laquelle "Nath" sort en pleurant mais avec une promesse d'embauche au cas où elle revienne. Chose promise, chose due, la salariée a réintégré la Régie à un poste pour lequel il lui aurait fallu trois ans d'ancienneté.
(Source lexpress.fr)