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  • : ARL
  • : Ne jamais dire que tout est fatalité...Même lorsqu'on croit que tout est fini, notre chemin est toujours parcouru par un plus grand que soi !Je préfère la réalité à la vérité toute faite des autres qui ne s'exprime que dans les discours... mais, je ne cesse point la recherche de ma vérité, cette quête du sens qui permet de trouver la voie de son bonheur, la lumière. (les articles syndicaux ou de politique syndicale sont au titre du syndicat Autonome à la RATP)
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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 21:06

http://2.bp.blogspot.com/_VhUPgCQXWEs/S_xOD7OMoyI/AAAAAAAADtU/m3N9fMS9Z70/s1600/5073664_6dc59c3594%5B1%5D.jpg

 

Chaque jour qui passe dévoile son lot de scandale...

Mais à qui profite le crime ????

 

Après le « Roi », ses vassaux. La semaine dernière, le syndicat SUD mettait le feu à la RATP en dénonçant le comportement d’un responsable de l’Unsa-Commercial, surnommé le « Roi », qui aurait contraint des salariées à des relations sexuelles contre des promotions. Ce matin, le parquet de Paris devait recevoir une nouvelle plainte, envoyée par Me Philippe Verdier, l’avocat de SUD-RATP. Cette fois-ci, elle porte sur un « abus de confiance » et vise un des lieutenants du « Roi ».

Une démission lundi matin

Le nom de cet autre syndicaliste était déjà mentionné dans la lettre
anonyme qui dénonçait les agissements du « Roi ». D’après divers documents internes que nous avons consultés, le lieutenant se serait en outre adonné à un substantifique détournement de fonds de 46.000 €. Sommé par la Régie, il aurait remboursé la somme avant de démissionner hier matin du comité d’établissement.

Tout comme le « Roi », ce syndicaliste indélicat œuvrait dans le plus grand département de la RATP, celui qui rassemble les contrôleurs et agents travaillant dans les gares et stations, soit près de 8.000 salariés.

Lors des élections professionnelles de novembre dernier, cet agent de maîtrise, qui habite sur le boulevard Saint-Michel, à Paris, est élu sur une liste Unsa. Il est nommé trésorier du comité d’établissement (CE). Seulement, en début d’année, l’Unsa-RATP fait le ménage et exclu sa branche dite Commerciale, qui était le fief du « Roi ». Fin des privilèges ? Pas tout à fait.

Certains se recyclent au sein du syndicat des Indépendants, une coquille vide : cette structure n’avait pas présenté de candidats aux élections. Olivier Cots, du syndicat SUD, estime qu’« on les a laissé faire parce que c’était le “Roi” et sa cour ». Et ils ne vont pas se gêner.

Le hurlement du DRH

Par un courrier du 18 mai, le lieutenant du « Roi », en tant que secrétaire général du syndicat des Indépendants, demande le « remboursement » d’une somme de 46.492 €. Explication : des syndicalistes auraient travaillé pour le compte du CE sur leur temps de délégations syndicales. Jamais une institution représentant les salariés n’a demandé le remboursement de ses heures, mais là, avec une légèreté déconcertante, ça passe. Il faut dire que la procédure est simplifiée : le chèque de 46.000 € porte la signature du trésorier du CE, ledit lieutenant du « Roi », et il est adressé au secrétaire général d’un syndicat inexistant, le lieutenant du « Roi »…

La ficelle est un peu trop grosse. « Quand on a fait le ménage, nous avons mis des gens à nous au CE, résume Thierry Babec, Unsa-RATP. Ils ont mis le nez dans les comptes et ont trouvé trace du virement de 46.000 €. » L’affaire remonte au DRH de la RATP, qui fait des bonds : « C’est du détournement de fonds ! » aurait-il hurlé.

Le lieutenant du « Roi » est sommé par courrier de rendre les 46.000 € : « Vous n’êtes pas sans savoir qu’un tel versement n’a pas de base légale, […] qu’il n’appartient pas à un comité d’entreprise d’apporter un financement à une organisation syndicale. »

"Un panier de crabes"

Pour justifier son escroquerie, le syndicaliste aurait présenté au CE, pas très regardant, des chèques relèves, ces dispenses de travail donnés aux représentants des salariés « théoriquement pour assurer une action syndicale », décrypte Olivier Cots. Problème : ces chèques relèves étaient déjà consommés. « Des patrons de lignes de métro, proches du « Roi », avaient suivi la combine », croit savoir Thierry Babec.

Les 46.000 € ne sont peut-être que la partie immergée de l’iceberg. Nous avons eu connaissance d’une cinquantaine de chèques relèves tous attribués au seul « Roi » pour le mois de février. « Alors qu’ils avaient été virés de l’Unsa, la bande du « Roi » a bénéficié de ces bons de délégation sur le compte d’un syndicat qui n’existe plus. Pendant quatre mois, eux et leurs amis ont été payés à ne rien faire. D’après nos informations, cela représenterait un préjudice équivalent à 500.000 € pour la RATP », affirme Olivier Cots, qui avoue n’avoir pas réuni pour l’heure toutes les preuves afin de pouvoir porter plainte.

De son côté, Thierry Babec constate : « Ce système de copinage malsain entre les syndicats et la direction doit cesser. A l’Unsa, nous en avons bénéficié, il ne faut pas le cacher. Ça nous rapportait des voix, des adhérents. Mais ça ne nous a pas empêchés d’y mettre fin. C’est vraiment un panier de crabes. C’est honteux ! Ce n’est vraiment pas glorieux pour le syndicalisme. »

Contactée, la RATP n’a pas souhaité répondre à nos questions.

C'est sur France Soir !

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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 14:04

  A la RATP, le deuxième syndicat issu des urnes avec plus de 25% de représentativité, UNSA RATP vit un véritable psychodrame !

 

Le Point.fr a publié un article surprenant.

 

Le syndicat UNSA semble hanté par les guerres internes depuis quelques temps.

POURQUOI ?

 

Alors que cette volonté de nouvelle forme de syndicalisme portée par des syndicalistes issus de divers horizons syndicaux (cgt, fo...) ne cessait de séduire et d'attirer de plus en plus de monde pour son côté apolitique et laïque.

 

L'heure est grave !

Il faut rapidement que les situations s'applanissent afin que l'UNSA garde son dynamisme pour gagner sa représentativité future au national, soit en 2013.

 

Je suis un fervent défenseur de l'autonomie syndicale et c'est pour cela que j'appelle de mes voeux une paix des braves et un recul des égos de chacun pour faire triompher la défense des salariés qui croient au syndicalisme.

 

 

Le Point.fr - Publié le 03/02/2011 à 14:24 - Modifié le 03/02/2011 à 14:25

L'argent brouille les cartes à la RATP

La justice arbitre un conflit syndical sur fond de gros sous

L'argent brouille les cartes à la RATP

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Matthieu Rondel / IP3 Press / Maxppp

Par Aziz Zemouri

 

Au sein de l'Unsa, deuxième syndicat de la régie des transports, un conflit oppose la branche commerciale à la direction. Motif : la gestion des 40 millions d'euros alloués par la RATP aux organisations représentatives. Selon l'article 4 du règlement intérieur, la somme est versée au comité d'entreprise (dénommé CRE à la RATP ), cogéré par la CGT et l'Unsa. Or l'Unsa commercial - branche du syndicat qui regroupe les salariés de la vente, du contrôle, etc. - a décidé de remettre en cause ce système. Elle souhaite que, désormais, le CE justifie ses dépenses chaque année. Pour lui forcer la main, le syndicat veut fractionner le versement de 40 millions en 4 tranches de 10 millions par an. Le versement serait soumis à la présentation d'un bilan comptable par le CE et renouvelable chaque année après justification de l'utilisation des fonds.

La direction de l'Unsa-RATP ne l'entend pas ainsi et ne veut pas changer un "système qui marche", dit-on au siège. Thierry Babec, son responsable, n'a pas souhaité donner suite à nos questions, réservant ses explications au tribunal. Il a le soutien de l'Unsa national, comme il s'en est prévalu à l'audience. "L'Unsa-RATP veut radier une de ses composantes pour avoir simplement demandé la transparence sur l'utilisation de l'argent des salariés", explique Mourad Ghazli, responsable juridique de l'Unsa commercial. Le tribunal rendra sa décision le 10 février.

 

Au total, la RATP alloue chaque année 83 millions d'euros à son comité d'entreprise.

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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 19:10

Arole.jpg

 

Depuis la fin des élections professionnelles du 30 novembre 2010 à la RATP, rien ne semble plus être comme avant dans le monde syndical.

 

La CGT sort affaiblie de ces élections.

CFDT et FO : essoufflés après avoir gardés leur représentativité pour environ 70 et 12 voix

CFTC : disparaît

SUD : renforcé

UNSA RATP : divisé par des guerres de personnes malgré sa progression et sa deuxième place confortée

 

L'UNSA RATP qui est l'expression d'un regroupement de 3 organisations syndicales (UNSA COMMERCIAL; UNSA TRANSPORTS; UNSA GATC) avait fait campagne sur une modernisation du Comité Régie d'Entreprise.

 Les salariés qui l'ont suivi dans cette démarche ne manqueront sûrement pas de demander des comptes sur l'utilisation d'une partie de la masse salariale versée au Comté Régie d'Entreprise RATP.

 

Les 4 années qui précèdent les nouvelles élections professionnelles de 2014 vont être palpitantes.

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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 11:37

 

CFDT Syndicat représentatif pour 97 voix

2805 voix 10,12% 4ème

 

CFE-CGC Syndicat représentatif

1440,3 voix 5,20% 6ème

 

CFTC Syndicat non représentatif

250 voix 0,90%

 

CGT Syndicat représentatif

9395 voix 33,90% 1er

 

FO Syndicat représentatif pour 20 voix

2787 voix 10,06% 5ème

 

SUD Syndicat représentatif

3905 voix 14,09% 3ème

 

 

UNSA Syndicat représentatif

7128,7 voix 25,73% 2ème

 

Ces élections professionnelles à la RATP confirment plusieurs points :

- la progression spectaculaire du syndicat SUD qui passe de 6% en 2006 à 14% en 2010

- l'affaiblissement de la CGT qui perd 3%

- la constance de l'UNSA qui consolide sa position de deuxième force syndicale passant de 21% à 25% (+ 4%) 

- la position fragile de Force ouvrière qui gagne sa représentativité pour 20 voix

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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 15:25
Retraites: la concertation lancée le 12 Avril 2009
AFP
02/04/2010 | Mise à jour : 13:12

Le ministre du Travail Eric Woerth va lancer le 12 avril la concertation sur les retraites avec les syndicats et le patronat, a annoncé vendredi le ministère dans un communiqué.
M. Woerth a écrit aux "responsables des organisations syndicales et professionnelles représentatives au plan national et interprofessionnel pour les convier à une première série de réunions bilatérales sur les retraites", indique le communiqué.

Ces réunions, qui aborderont "les objectifs" de la réforme des retraites et "la méthode de concertation", se tiendront le 12 avril au ministère. M. Woerth rencontrera ce jour-là la CFDT, FO, la CFTC, la CGT et le Medef, a précisé le ministère.

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 13:03


   Le Mardi 23 mars 2010, l'UNSA RATP appelle à la mobilisation générale des salariés.
La nouvelle vient de tomber comme un coutelas sur une "noix de coco-nain".


Le Gouvernement croit pouvoir tout bousculer sans aucune réaction,  sans un dialogue avec quiconque....
Alors, il récolte ce qu'il a semé.

Au moment de la réforme des retraites, les discussions risquent d'être très très chaudes et les transports très très perturbés.


Arole LAMASSE

secrétaire thématique
UNSA COMMERCIAL RATP
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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 23:32

(JPEG)                                                   


 
Je ne sais pas si tous les syndicats sont à Gauche, mais le moins que je puisse dire c'est que le syndicalisme doit transcender toutes les idéologies de partis politiques.
Mon initiation syndicale s'est effectuée à Force Ouvrière quand j'étais à la SNCF, et mon cheminement et perfectionnement se poursuit aujourd'hui au sein de l'organisation syndicale UNSA (Union Nationale des Syndicats Autonomes).

Deux syndicats réputés pour leur proximité avec la Gauche... pourtant les premières valeurs de vie que je partage et défends s'éloigne de cet angélisme social porté par la Gauche.

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 16:10
Les policiers votent pour les syndicats de gauche

L' UNSA Police se prend une veste auprès des gardiens de la paix lors des élections professionnelles de la semaine du 28 janvier 2010, passant d' une représentativité de plus de 40 % à 9,78 % dans la police.

C'est triste pour un syndicat comme l' UNSA Police que les divisions internes et son positionement historique à Gauche ont conduit au désastre.

PARIS - Les élections professionnelles dans la police française ont confirmé le poids des syndicats proches de la gauche et la persistance du malaise des forces de l'ordre face à la politique de sécurité du gouvernement.

Le rapport de forces parmi les représentants des 140.000 fonctionnaires de police reste toutefois le même que lors du précédent scrutin, il y a deux ans, et la participation a été très forte, de 82% à 87,7% selon les secteurs, rapporte vendredi le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.

Chez les gradés et gardiens de la paix, l'union entre Unité police, classée à gauche, et le SGP-FO a remporté près de la moitié des suffrages avec 47,8%, contre 37,6% au syndicat Alliance, réputé proche de la majorité.

Le syndicat Unsa Police a obtenu pour sa part 9,7% des voix.

Chez les officiers, le Snop, classé à gauche, a obtenu 54% des voix, devant le syndicat Synergie (44,5%), classé à droite.

Pour le ministère de l'Intérieur, ces résultats reflètent "une grande stabilité".

Mais dans un communiqué, l'union SGP-Unité police appelle l'administration à tenir compte de sa victoire électorale et à engager sans tarder des négociations sur les questions de promotion et de pouvoir d'achat.

"Il est indispensable pour notre institution, mais aussi pour notre République, de rompre avec les incompréhensions et les confrontations qui polluent le dialogue social dans la police depuis un an et demi", écrit-il.

Le ministère de l'Intérieur a assuré de son côté que la concertation sociale reprendrait rapidement.

Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat Alliance, a souligné que l'union SGP-Unité police avait échoué dans son pari d'atteindre la majorité absolue.

"En revanche, nous, nous progressons à 38%", a-t-il dit sur LCI. En 2006, Alliance avait obtenu 36,47% des voix.

Dans un communiqué, Synergie estime pour sa part que le résultat du scrutin fait de lui un "acteur incontournable" du paysage syndical.

Ces élections, étalées sur trois jours cette semaine, constituaient un test pour le gouvernement, qui veut faire de la sécurité l'un des thèmes de campagne des élections régionales.

Or, la plupart des syndicats dénoncent la "course aux chiffres" impulsées par Nicolas Sarkozy depuis 2002, alors qu'il dirigeait le ministère de l'Intérieur, et contestent de plus en plus ouvertement les statistiques officielles.

Même le syndicat Alliance critique la "culture du chiffre" alors que, parallèlement, les effectifs diminuent.

Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a revendiqué à la mi-janvier une petite baisse de la délinquance de 1,04% en 2009, assurant que l'essentiel était de rester sur une tendance favorable.

Le Parti socialiste a parlé de son côté d'échec, soulignant que le point noir de la délinquance, à savoir les violences faites aux personnes, continuait une progression entamée depuis plusieurs années.

 

Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser

(Le Parisien)

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16 janvier 2010 6 16 /01 /janvier /2010 14:15

     

Certaines organisations syndicales n'ont toujours pas levé leur préavis de grève illimitée sur le RER A de la RATP...
Certains salariés se mettent ainsi en grève pour 1 heure voir 3 heures presque tous les jours à tour de rôle.
C'est ce qu'aurait déclaré un syndicaliste de la RATP sur France info le vendredi 15 janvier 2009.

A quoi joue-t-on ?

Pourtant à la RATP, la fin de l’année 2009 fut marquée par une grève historique des conducteurs de cette ligne A du RER pendant 17 jours.
Ils réclamaient plus d’une centaine d’€uros de primes et la Direction leur a accordé 80 € bruts soumis à une atteinte d'objectifs de régularité, donc de production.

Jamais, la RATP n’avait connu pareille situation de mouvement social.
Il faut souligner que cela fut singulier puisque la Direction a donné l’impression de ne jamais céder aux injonctions des grévistes en s’octroyant même le luxe de démontrer que le service minimum pouvait fonctionner à la RATP en cas de grève.

Mais, les grévistes ont eux aussi à leur manière donné l’impression de ne pas être prêts à se plier aux injonctions d’une Direction d’Entreprise qui désormais lançait un signal de fermeté face aux partenaires sociaux. Cette méthode n’est sans doute pas sans risques puisque c’est le début d’un bras de fer social qui s’annonce musclé à l’avenir en cas de nouveaux conflits.
En effet, on ne serait pas surpris si des agents se mettaient en grève de la faim pour faire entendre leurs revendications…certains se disent prêts.

 

Cet épisode rappelle toute comparaison gardée, celui de l’année 1621 au cours de laquelle le roi Louis XIII ordonnât à son armée de tirer 400 coups de canon pour définitivement soumettre, en vain, les Montalbanais dont la ville était assiégée pendant deux mois et demi déjà.

La grande question actuellement est de savoir qui a tenu ou tient le rôle des Montalbanais, les grévistes ou la Direction dela RATP ?
 

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16 janvier 2010 6 16 /01 /janvier /2010 13:58
      

Qui soutient le fait que les dirigeants CGT n'ont plus rien à voir avec le communisme ????

Le patron de la CGT Cheminots va, à la fin de son mandat, entrer en politique.

Didier Le Reste, l'emblématique patron de la CGT Cheminots, qui prendra sa retraite à la fin de 2010, va s'investir en politique. A l'expiration de son mandat, il compte s'impliquer davantage au sein du Parti communiste, dans la perspective d'une éventuelle candidature aux législatives de 2012. En attendant, il prépare sa succession à la fédération, dont le prochain secrétaire général sera désigné au mois de décembre. Pour l'heure, Gilbert Garrel, le responsable des cadres cheminots, tient la corde.

L'EXPRESS

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