"Mmmmm j'ai envie de te faire l'amour mon amour. Ah ton dieu, le jour où je t'attrape je te mange, je te déchire à fond."
"elle est entendue une seconde fois par le responsable des ressources humaines de la ligne 7. Elle demande à être éloignée de (........), plus de trois mois après sa première déclaration. « Je veux qu’il soit éloigné de moi, mais pas qu’il soit sanctionné lourdement », indique la jeune femme au terme de son audition. L’homme écope finalement de cinq jours de mise à pied pour « l’envoi de messages à caractère sexuel », et non pour harcèlement sexuel (...)" lu dans street press.
Voilà des extraits de ce qu'on pouvait lire dans une presse internet qui annonçait la tenue d'un procès.
Ce dernier s'est déroulé au cours de la semaine du 14 janvier 2019 et l'épilogue de cette affaire gonflée par certains pour des raisons encore obscures, arrivera rapidement.
Des protagonistes se sont avancés, ont accusé (sans preuve fournie), ont témoigné sans savoir, ont parlé parfois pour ne rien dire, devront finalement connaitre les réactions en face.
Quant au présumé agent auteur, l'entreprise RATP a conclu son enquête sur une absence de harcèlement sexuel de sa part envers quiconque, mais qu'en sera-t-il du tribunal ?
Cela va se savoir...